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							Né en 1955 dans la vieille ville de Lukang (鹿港), 
							sur la côte ouest de l’île, Wang Ting-kuo a commencé 
							dès dix-sept ans à écrire des nouvelles qui lui ont 
							aussitôt valu plusieurs prix littéraires. 
							 
							
							
							  
							
							
							Il a travaillé dans le bâtiment et la publicité, et 
							apendant plusieurs années concentré ses efforts sur 
							le développement de sa propre entreprise de 
							construction. Ce n’est qu’en 2003, après une pause 
							de près de vingt-cinq ans, qu’il est revenu à la 
							littérature. Il a depuis lors écrit de nombreux 
							romans, essais et recueils de poèmes et de 
							nouvelles, remportant en 2014 le Grand Prix 
							international du livre de Taïwan pour son roman « Si 
							chaud, si froid » 
							(《那麼熱,那麼冷》). 
							  
							
							
							
							Ses dernières publications sont 
							des recueils de nouvelles : « Qui a cligné des yeux 
							dans le noir ? »  (《誰在暗中眨眼睛》), 
							en 2014, « Le sakura de l’ennemi » (《敵人的櫻花》) 
							en 2015 et « Le mariage de la jeune Dai
							
							
							Meile » (《戴美樂小姐的婚禮》) 
							en 2016. 
							  
							  
							
							
							
							A lire en complément 
							
							
							
							  
							
							
							 « La faille » (《斷層》/《断层》), 
							nouvelle très courte datant de 2015, d’un style très 
							comparable à beaucoup de nouvelles récentes 
							d’auteurs du Continent : description d’un personnage 
							original dans les aspects les plus courants de sa 
							vie quotidienne, mais par bribes à peine entrevues, 
							avec un dénouement soudain qui, dans sa brièveté, 
							ouvre le récit plus qu’il ne le referme. 
							
							
							  
							
							
							« La faille », nouvelle traduite par Lucie Modde 
							
							
							Publiée dans le 
							
							Hors-série Taiwan de la revue Jentayu, 
							octobre 2016, pp. 151-160.  | 
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							Wang Ting-kuo 
							  
							
							
							  
							
							
							
							« Le sakura de l’ennemi » (《敵人的櫻花》)  |